- EAN13
- 9782251916989
- Éditeur
- Les Belles Lettres
- Date de publication
- 17/09/2021
- Collection
- Médecine & sciences humaines
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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La Nature humaine à la lumière de la psychopathologie
Kurt Goldstein
Les Belles Lettres
Médecine & sciences humaines
Autre version disponible
-
Papier - Belles Lettres 29,00
La Nature humaine à la lumière de la psychopathologie (Human Nature in the
Light of Psychopathology) réunit un ensemble de conférences (« The William
James Lectures ») prononcées par Kurt Goldstein à l’Université Harvard, en
1938-1939 et publiées pour la première fois en 1940 par Harvard University
Press. Premier ouvrage de Goldstein paru aux États-Unis où il commence une
nouvelle vie, tant personnelle que professionnelle, après avoir été chassé
d’Allemagne par le gouvernement nazi. Formé à la médecine, spécialiste de
psychiatrie, mais également féru de philosophie, il est confronté dans ses
premières années de pratique aux cérébrolésions des soldats de la Première
Guerre mondiale, sources de séquelles irréversibles. C’est le point de départ
d’une réflexion qui transcende les découpages disciplinaires entre biologie et
philosophie, anthropologie et neurologie, théorie médicale et pratique
clinique. Goldstein propose en effet une conception de la clinique qui engage
le rapport de l’être humain à lui-même, aux autres et au monde, et fait de la
biologie une science qui doit être autant capable d’appréhender de façon «
atomistique » les phénomènes qu’elle analyse que de développer une
compréhension de l’organisme tout entier, malade ou en bonne santé.
Light of Psychopathology) réunit un ensemble de conférences (« The William
James Lectures ») prononcées par Kurt Goldstein à l’Université Harvard, en
1938-1939 et publiées pour la première fois en 1940 par Harvard University
Press. Premier ouvrage de Goldstein paru aux États-Unis où il commence une
nouvelle vie, tant personnelle que professionnelle, après avoir été chassé
d’Allemagne par le gouvernement nazi. Formé à la médecine, spécialiste de
psychiatrie, mais également féru de philosophie, il est confronté dans ses
premières années de pratique aux cérébrolésions des soldats de la Première
Guerre mondiale, sources de séquelles irréversibles. C’est le point de départ
d’une réflexion qui transcende les découpages disciplinaires entre biologie et
philosophie, anthropologie et neurologie, théorie médicale et pratique
clinique. Goldstein propose en effet une conception de la clinique qui engage
le rapport de l’être humain à lui-même, aux autres et au monde, et fait de la
biologie une science qui doit être autant capable d’appréhender de façon «
atomistique » les phénomènes qu’elle analyse que de développer une
compréhension de l’organisme tout entier, malade ou en bonne santé.
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