- EAN13
- 9782711615599
- ISBN
- 978-2-7116-1559-9
- Éditeur
- Vrin
- Date de publication
- 09/2002
- Collection
- Bibliothèque des textes philosophiques
- Nombre de pages
- 304
- Dimensions
- 21,5 x 13,5 x 1,8 cm
- Poids
- 400 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- allemand
- Code dewey
- 193
- Fiches UNIMARC
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Lettres et témoignages sur la Révolution française
De Johann Gottlieb Fichte
Vrin
Bibliothèque des textes philosophiques
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Tout l’arc de la production fichtéenne est sous-tendu par l’effort de décrypter le chiffre de la Grande Révolution de 1789 et d’en conjurer l’échec. Le lecteur pourra reparcourir les différentes étapes de la complexe relation amour-haine que le philosophe allemand a entretenu avec la France, au fil de ce recueil qui réunit pour la première fois l’ensemble des jugements qu’il a portés sur la France et les Français (comprenant quelques inédits), depuis son vigoureux engagement au service des idéaux révolutionnaires jusqu’à son virulent engagement anti-napoléonien.
Par-delà l’intérêt historique ou anecdotique que l’on peut concevoir à examiner la position de celui que l’on peut à juste droit qualifier de “philosophe de la Révolution” par excellence, se profile un intérêt proprement philosophique : derrière la question de la cohérence de la lecture par Fichte du drame qui s’est joué au tournant du XIXe siècle, c’est la consistance de la philosophie de l’histoire et de sa conception de l’articulation entre la théorie et la pratique qui est en cause. De plus, comme les blessures ouvertes par la Révolution ne sont pas encore refermées, le disgnostic qu’il a prononcé sur les insuffisances des principes qui l’ont guidée ne peut laisser indifférent.
Par-delà l’intérêt historique ou anecdotique que l’on peut concevoir à examiner la position de celui que l’on peut à juste droit qualifier de “philosophe de la Révolution” par excellence, se profile un intérêt proprement philosophique : derrière la question de la cohérence de la lecture par Fichte du drame qui s’est joué au tournant du XIXe siècle, c’est la consistance de la philosophie de l’histoire et de sa conception de l’articulation entre la théorie et la pratique qui est en cause. De plus, comme les blessures ouvertes par la Révolution ne sont pas encore refermées, le disgnostic qu’il a prononcé sur les insuffisances des principes qui l’ont guidée ne peut laisser indifférent.
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