- EAN13
- 9782848197395
- Éditeur
- Éditions Créer
- Date de publication
- 30/03/2022
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Autre version disponible
-
Papier - Éditions Créer 16,00
« J’avoue, jusqu’à ce que je lise SOFONISBA, le dernier roman d’Anne Comtour,
je n’avais jamais entendu parler de Sofonisba Anguissola.
Et je me désolais qu’il y ait eu si peu de femmes peintres
. Et voilà qu’au sortir de cette lecture, je découvre cette artiste, cette
peintresse, jaillie de la Renaissance.
En une centaine de pages, légères, précises, enlevées… Anne C. nous entraîne
dans un tourbillon de joie. On suit Sofonisba dans ses apprentissages ; on la
voit broyer ses couleurs, tendre ses toiles, manier fusains et pinceaux ; on
l’entend jouer du virginal ; on assiste à la naissance de ses talents.
Par la vivacité et la grâce de ces lignes, j’ai la sensation d’avoir
découvert, en plus d’un grand peintre injustement méconnu, portraitiste hardie
et virtuose, une nouvelle amie ; et cela n’a pas de prix.
Longue vie nouvelle à Sofonisba !
À quand une exposition de ses toiles en France ?
En attendant, plongeons dans ce récit enjoué, irradié par le soleil d’Italie,
comme dans un torrent d’eau vive. »
Élise Fontenaille
je n’avais jamais entendu parler de Sofonisba Anguissola.
Et je me désolais qu’il y ait eu si peu de femmes peintres
. Et voilà qu’au sortir de cette lecture, je découvre cette artiste, cette
peintresse, jaillie de la Renaissance.
En une centaine de pages, légères, précises, enlevées… Anne C. nous entraîne
dans un tourbillon de joie. On suit Sofonisba dans ses apprentissages ; on la
voit broyer ses couleurs, tendre ses toiles, manier fusains et pinceaux ; on
l’entend jouer du virginal ; on assiste à la naissance de ses talents.
Par la vivacité et la grâce de ces lignes, j’ai la sensation d’avoir
découvert, en plus d’un grand peintre injustement méconnu, portraitiste hardie
et virtuose, une nouvelle amie ; et cela n’a pas de prix.
Longue vie nouvelle à Sofonisba !
À quand une exposition de ses toiles en France ?
En attendant, plongeons dans ce récit enjoué, irradié par le soleil d’Italie,
comme dans un torrent d’eau vive. »
Élise Fontenaille
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