- EAN13
- 9782246641117
- ISBN
- 978-2-246-64111-7
- Éditeur
- Grasset
- Date de publication
- 06/11/2002
- Collection
- Roman
- Séries
- OEuvres complètes / Éric Ollivier (1)
- Nombre de pages
- 624
- Dimensions
- 22,5 x 14 cm
- Poids
- 816 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 848.914
- Fiches UNIMARC
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Le présent volume regroupe trois titres qui étaient devenus introuvables : J'ai cru trop longtemps aux vacances (1967), Passe-L'Eau (1971) et L'Orphelin de Mer (1982). Réunis, ils forment à leur manière une autobiographie de l'auteur, homme d'honneur et de fidélités, qui dit de lui-même : « Je suis empoisonné par le désinvolture ».
Voici comment il décrit ce recueil, dans une préface émouvante, où la perte de l'être aimé le laisse solitaire, entre le passé à distance et l'avenir dévasté.
« Les trois livres de ce recueil décrivent des moments de mon existence favorisée (et j'en ai toujours été conscient). Ils sont dans la catégorie « roman » parce que c'est un usage dans l'édition : je n'aurais pas la prétention de les présenter comme des essais, je suis un manuel et non un intellectuel ; je me sens mieux parmi les arbres que parmi les rhéteurs où pullulent les aboyeurs des carrefours, comme dit Adèle de Boigne ; je ne suis pas doué pour l'abstraction et les développements théoriques, mais je ne doute pas de mes talents de chroniqueur. Je sais donner à voir. Pour employer un mot à la mode ces temps-ci, et toujours à Paris (ma seule patrie) ces faux romans sont des auto-fictions. Que je qualifierais verticales. Car je me tiens droit. »
E.O.
Voici comment il décrit ce recueil, dans une préface émouvante, où la perte de l'être aimé le laisse solitaire, entre le passé à distance et l'avenir dévasté.
« Les trois livres de ce recueil décrivent des moments de mon existence favorisée (et j'en ai toujours été conscient). Ils sont dans la catégorie « roman » parce que c'est un usage dans l'édition : je n'aurais pas la prétention de les présenter comme des essais, je suis un manuel et non un intellectuel ; je me sens mieux parmi les arbres que parmi les rhéteurs où pullulent les aboyeurs des carrefours, comme dit Adèle de Boigne ; je ne suis pas doué pour l'abstraction et les développements théoriques, mais je ne doute pas de mes talents de chroniqueur. Je sais donner à voir. Pour employer un mot à la mode ces temps-ci, et toujours à Paris (ma seule patrie) ces faux romans sont des auto-fictions. Que je qualifierais verticales. Car je me tiens droit. »
E.O.
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