L'amour était presque parfait, Ingrid Bergman et Robert Capa, les amants magnifiques

"Nous sommes partis danser à Montmartre. C'était si bon quand il me serait contre lui sur la piste. Ce Hongrois drôle et charmeur, au regard aussi noir que ses sourcils, plaisait bien à la petite Suédoise que j'étais."
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C'est l'histoire d'un amour pur, respectueux, intense, brûlant entre deux âmes au carrefour de leurs vies.
Lui vient de vivre 10 années intenses à couvrir deux guerres et elle enchaîne les films hollywoodiens.
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Ingrid Bergman et Robert Capa se rencontrent à Paris en 1945.
Un vrai coup de foudre.
Lui aime sa liberté, elle est contrainte dans un mariage sans amour. Deux âmes différentes mais qui pendant deux ans vont vivre une relation puissante.
On y croise David Seymour, Victor Fleming, Gary Cooper, Humphrey Bogart, et le souvenir de Gerda Taro, photographe de guerre et grand amour de Robert Capa, tuée sur le front de la guerre d'Espagne.
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Tous les deux se cherchent, lui rêve de sensations fortes et elle rêve de liberté.
Le roman d'une grand histoire d'amour, longtemps tenue secrète mais digne d'Hollywood.
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"Capa ne voulait pas m'épouser, mais il m'avait délivrée. Quelle plus belle preuve d'amour? Il ne voulait pas être ligoté et il me déliait de mes entraves. Celles qu'avait tissées Petter pendant des années pour tout régenter : mon argent, mon corps, ma tête, mon désir, mon plaisir, ma vie. Capa ne voulait pas s'attacher, il me détachait des conformismes qui m'avaient maintenue pendant des années dans la bienséance. J'avais cru aimer Victor Fleming en 1941, Gary Cooper en 1942 et quelques autres, mais amoureuse, je ne l'ai été que de Capa. Il m'a offert, en retour, le plus précieux cadeau de non-mariage du monde : la clé pour m'affranchir de mes servitudes."
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Conseillé par Marie F.